On associe les paramètres
Les quartiers de France comme système métrique
Se base sur l’arithmétique de masse et sa rime maîtrise
Hélas, on a mis l'éthique en place et la rue s’excite
On nage dans la prise de risque, face à ça: notre charisme d'équipe
C’est tout con vu l’style de traces conductrices
De haine combustible, en fait: on se duplique
Une toux convulsive, toute pleine d’onces d’usine
La peste ondule vite, Hi-tekk plombe une cible
Je me dis: «nom d’une pipe «, réflexe translucide
De la merde: on butine, de la merde: on butine…
Je m’arrête net, en parachute
Dans les bars à neusks, ou les bars à putes
Dans ce cas, je l’assume et je cavale plus
Loin des stars de l’anus et de leurs parades nulles
Leurs carnavals, loin des bases navales
Me rendent paranoïaques, les narvallos jactent
Fais gaffe à nos actes, on se masque à l’occaz'
On marche à l’orgasme paranormal…
Souvent, on parle d’avant, parfois on parle d’après
Parfois on parle d’argent, souvent on parle de vrai
Parfois on est 40, souvent on est tout seul
Parfois on r’monte la pente, souvent on est sur le seuil
Souvent ça boit de l’alcool, souvent ça fume du shit
Parfois ça parle de rap, tout le temps on voit les flics
Parfois ça s’entraide, parfois ça s’embrouille
Souvent ça galère sec, tout le temps: les rêves se rouillent
Le flic: un dos d'âne anodin, doté du don d’abattre au teint
Dompté d’un tonneau de vin d’antan, pendant qu’un badeau meurt d’O.D
La France d’auteur d’Alphonse Daudet, de Danton à Baudin
Mentir de Sedan à Meudon, du bandit au mendiant, du lundi au lundi
Du condé qui condamne à la place du juge et qui t’emmerde
C’est bien au placard qu’il t’emmène, ça a une odeur de chrysanthème…
Je représente l’injection létale pour les pointeurs
La peur se présente, inspectons les caves
Pour eux: la peine capitale et maximale
Après maintes questions légales, on m’assimile à la peste en H.L.M. habitacle
Elle reflète la misère, après on se plaint que les cons s'éclatent…
Compte jusqu'à 10, on gravite au dessus de notre maigre discographie
Bon nombre d’africains trafiquent, arrivent en avion, en navire
Regarde la poésie d’ici, car aucun pro n’hésite ici
Ici personne n’est justicier et le choix des armes est judicieux…
Souvent, on parle d’avant, parfois on parle d’après
Parfois on parle d’argent, souvent on parle de vrai
Parfois on est 40, souvent on est tout seul
Parfois on r’monte la pente, souvent on est sur le seuil
Souvent ça boit de l’alcool, souvent ça fume du shit
Parfois ça parle de rap, tout le temps on voit les flics
Parfois ça s’entraide, parfois ça s’embrouille
Souvent ça galère sec, tout le temps: les rêves se rouillent
On dépayse le racisme avec des armes dignes de Maciste
On se fout de l’aristocratie: le rap, mon art dit trop crasseux
Si la France était un poumon, nos tours en seraient les cancers
Si la France était un sumo, nos tours en seraient les pampers
Si la France était un rouleau, nos tours seraient ce qu’il compresse
Si la France, c'était les journaux, nous en serions les faits divers
Je suis complètement à coté de la plaque
Un pote me casse les yeuks avec ses histoires de cunnilingus
En face de moi le mur est sale, je vois que l’urine s’incruste
L’odeur de bière est omniprésente
Au final, avec la justice, ceux qui la subissent trinquent plus
Je me dis que l’ultime insulte est celle qui vise mes ancêtres
Quand on les traite en stupides incultes
J’aimerais qu'à l’usine s’insurgent les prolétaires
Qu’ils baisent la France patronale, quand je me défoule
Plus je nique un truc, plus je me dis que dans ma vie, je suis l’unique intrus
Je me prends un stop, c’est anormal, sur les bancs publics s’incrustent
Nos embrouilles sur la corde raide
Ma haine: une forteresse munie d’instrus…
Souvent, on parle d’avant, parfois on parle d’après
Parfois on parle d’argent, souvent on parle de vrai
Parfois on est 40, souvent on est tout seul
Parfois on r’monte la pente, souvent on est sur le seuil
Souvent ça boit de l’alcool, souvent ça fume du shit
Parfois ça parle de rap, tout le temps on voit les flics
Parfois ça s’entraide, parfois ça s’embrouille
Souvent ça galère sec, tout le temps: les rêves se rouillent
… Parfois c’est Hi-Tekk, souvent c’est du bon son
Parfois c’est Nikkfurie, tout le temps c’est La Caution
Parfois on parle de nos pères, parfois on parle de nos mères
Souvent de faits divers, jamais on ne sort de nos sphères
Parfois c’est Hi-Tekk, souvent c’est du bon son
Parfois c’est Nikkfurie, tout le temps c’est La Caution
Souvent, parfois, tout le temps, jamais en transe, maintenant, souvent
Parfois c’est Hi-Tekk, souvent c’est du bon son
Parfois c’est Nikkfurie, tout le temps c’est La Caution
Parfois c’est DJ FAB, souvent c’est du bon son
Parfois c’est KEROZEN, tout le temps c’est La Caution
TanyaRADA пишет:
- спасибо! От Души!!! ( Улыбаюсь...)все так!!!Liza пишет:
Любимая песня моей мамы