Comme disait Robert 'Nesta' Marley
On refuse d'être ce que tu veux qu’on soit
Nous sommes ce que nous sommes
Et c’est comme ça que ce se passera
Si tu savais pas…
Je serais con de ne voir que l’honnêteté et pas le vice
Et si j'étais à votre place je ne prendrais pas le risque
A notre époque, c’est fausse vérité et infos factices
L'état deale plus de pilules que le mec dans «Matrix»
Arrête avec ton vieux cinéma, madame l’actrice
Tu vas payer des dégâts et là c’est le drame, la crise
Les politiciens allument le feu, ils l’attisent
Ensuite, viennent jouer les pompiers pour qu’on croit qu’ils s’activent
Mais eux, ce ne sont que des plus gros pions dans le trafic
Pour savoir qui a le pouvoir, faut regarder qui a le fric
C’est Total Fina, Elf, les vrais patrons en pratique
Déclenchent des guerres pour des ressources minières en Afrique
Manigancent jusqu'à Taiwan, va savoir ce qu’ils trafiquent
Va demander à Dassault où vont les armes qu’il fabrique
Tellement d’argent à faire avec la guerre et la famine
Et chez les Bush, c’est un business qui se fait en famille
Le peuple est couillonné
Qui vole par besoin est condamné
Qui vole un état est couronné
Ca prouve bien qui si tu as la monnaie, tu as le pouvoir
Ne vas pas croire à ce qu’ils veulent te faire croire
On naît libres et égaux en droit, mais on le reste pas
Y’a qu'à voir comment leur police nous parle
Le meilleur est peut-être à venir qui sait
Mais pour le moment allez le dire que nier les Droits de l’Homme n’a pas
d’avenir
6 millions de pauvres sont là à résister
Et eux ils cassent les couilles à la Laïcité
Traquent mes sœurs pour rien
C’est clair que dans ce décor nous ne collons pas
Mais ne déconnons pas faut pas que ça se finisse comme à Columbine
Je regarde le pays, ce qu’ils en font
Et je vois un typhon de haine, l’héritage de leurs petits enfants
Je vois la justice de l’uniforme
A croire qu’ils veulent qu’on s’endorme avec des tirs pour seul bruit de fond
Dédié au béton de France, de ceux qui mettent le bleu de travail à ce qui
contrebandent
Ils souhaitent qu’on disparaisse comme le putain de franc
Ceux de la Haute, tous des 'pleins de bouche'
Vole des sommes astronomiques au peuple, comme ce fils de putain de Bush
Ma parole de ma part même pas un vote blanc
Nique sa mère la scène politique
La délinquance en col blanc
Asphyxie par ce système à la con
Humilié par leur police, on rêve de tirer sur le drapeau au harpon
C’est notre sang contre le leur
Les roses noires de la tristesse poussent en nous
Mes frères m’ont dit «Révèle-leur»
Tous potentiels ennemis publics
Depuis que l'État bafoue les vertus les lois de la 5émé république
Qui fabriquent des armes qui se retrouvent dans des cours d'école
Qui ment et qui vole et qui te fout en taule
Le plus grand des voyous
Qui taxe le jeu le tabac et l’alcool
Qui a le monopole
L'état reste le plus grand des voyous
Qui est sur tous les coups
Qui te met sur écoute
Te mets pas sur sa route
S’ils veulent, ils te shootent
Le plus grand des voyous
Qui manie l’opinion
Qui promet de l’emploi
Qui pousse à vivre au-dessus des lois
Les gens nous aiment peu
Ils veulent pas de nous a côté de chez eux
Ils prennent peur après ce qu’ils voient au JT de 13 heures
De l’insécurité de l’incivisme des bagarres dans les halls de cours d’assise,
des scènes de guerre civile
Nos durs rapports avec les forces de l’ordre
A les entendre, on serait les forces de l’ombre, voilà ce qu’ils nous montrent
Des racailles et des violeurs, des femmes voilées
Mais ils oublient que le mal causé revient toujours à l’envoyeur
Les médias nous causent du tort
C’est pas les seuls les pouvoirs ne font rien pour améliorer leur sort
Dès qu’ils peuvent, ils détournent tout l’argent du peuple
Et nous parquent entre misérables dans des grands ensembles d’immeubles
Ces mêmes ensembles ou naissent nos drames
Ou l’ont nique nos crânes avec des films de gang, de la marijuana
On n'écoute personne, on veut en faire qu'à notre tête
Et on le regrette dès qu’on est pris avec trop de barrettes dans les chaussettes
J’aimerais les y voir, ceux qui nous jugent dans leur tour d’Ivoire,
sans connaître un mots de notre histoire
Ils n’imaginent pas la souffrance qui se cache derrière ces murs
S’ils parlaient, ils diraient tous à quel point c’est dur
L’Etat nous laisse pas le choix, on enfreint les lois, on travaille au noir
Et ces enfoirés nous montrent du doigt
Personne nous aime c’est comme ça
Mais méfie-toi nos ennemis sont parfois plus près que ce qu’on croit
Y’aura toujours des guerres aux quatre coins de monde
Des âmes innocentes qui meurent toutes les secondes
A l’heure où je vous parle, pour eux on creuse des tombes
Comment comprendre que des mères se transforment en bombes
Par amour par vengeance par idéologie
Ici bas, c’est dans les armes qu’la haine ce réfugie
On sait rien sur les conflits d’Afrique et de Tchétchénie
De toute manière, on nous ment depuis des décennies
Car les infos sont contrôlées par le pouvoir
Le Service Public n’accomplis plus son devoir
Pour te faire peur on te parle des arabes et des noirs
D'économie souterraine, l'État perd des territoires
C’est la croisade du Bien contre le Mal
Réfléchis qui fabrique les mines, les armes et les balles
Réfléchis qui fais les business plus prolifiques
Ceux qui bénéficient de l’immunité politique
Qui fabriquent des armes qui se retrouvent dans des cours d'école
Qui ment et qui vole et qui te fout en taule
Le plus grand des voyous
Qui taxe le jeu le tabac et l’alcool
Qui a le monopole
L'état reste le plus grand des voyous
Qui est sur tous les coups
Qui te met sur écoute
Te mets pas sur sa route
S’ils veulent, ils te shootent
Le plus grand des voyous
Qui manie l’opinion
Qui promet de l’emploi
Qui pousse à vivre au-dessus des lois
TanyaRADA пишет:
- спасибо! От Души!!! ( Улыбаюсь...)все так!!!Liza пишет:
Любимая песня моей мамы