J’mène une vie de civil tout comme toi tout comme lui
J’suis sorti du ventre et je finirai dans le cercueil comme toi et lui
Tout comme Louis de Funès j’croque la vie à pleines dents
Avec la rage une telle finesse que je t’encule poliment
Sans faire semblant, pour toi je suis le reflet d’une étoile
Alors pour ceux qui se font courser par les mecs à l’insigne de l'étoile
Un simple civil tout comme les gars qui charbonnent
Qui sont là pour faire de gros sous pas comme ceux qui te balancent et qui te
donnent
Si si dalle dalle, enlève moi cette vie de star celle qui pousse mes
connaissances à mal parler de moi quand je dis au revoir
3 ans déjà donc 3 ans plus tard toujours le même mec des blocs aussi simple que
des gars du shoot star
Shit merde, influencé par trop de chattes, ces michtos et groupies qui abusent
de l’homme finissent par une chute
Le plus important c’est l’atterrissage, qui dit que le vrai succès est celui de
l’amour des parents en héritage
My man, pourquoi se prendre la tête, quand la voix est sincère autant que les
larmes que versent pères et mères
My man, pourquoi me priver des hassanat de mes prières? Moi aussi j’charbonne
pour faire des sous tant le succès est éphémère
Mon frère, malheureusement j’aurai toujours le compte gonflé de ragots et
rumeurs comme les légendes de ton quartier
Ces légendes ont apprécié le mal dans le bien dédié aux brigantes qui
décompressent dans la baise ou le joint
Le même colonisateur toujours à son poste, mecs des clubs, du son du don’t
sleep à la West Coast
Préviens tes civils que je traîne dans la même zone, ED, Lidl, plan d’Aou ou
rue Saint-Ferréol
Je n’appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d’homme dans ce
monde à aucune femme
Comme toi j’suis qu’un libre civil bouffe pas mon oxygène car la vie s’effrite
si vite
Je n’appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d’homme dans ce
monde à aucune femme
On peut passer de l’affiché à l’afficheur, ça part d’en bas un démarrage en
côte vers le bonheur
J’ai la rime beaucoup trop près de la falaise, c’est fâcheux j’ai l’vertige,
des mecs que beaucoup croient balèzes
A 22 piges j’ai voulu connaître le vide merci à ceux qui m’ont servi de filtres
contre la nicotine de la vie
Car je passe mon temps à mettre ma cendre sur une feuille en espérant que le
rap me serve de patch
La vie un match qu’on croit pouvoir commenter sur un fauteuil
Nous on est tous sur le terrain à courir derrière les aiguilles de la Swatch
Voila pourquoi j’rappe, pas pour celles qui fantasment sur ma voix dis leur de
me lâcher la grappe
Car depuis que Sopra est sous l’halogène, pour Saïd le succès est un poumon qui
s’approprie son oxygène
Pourtant, faut que j’assume c’est mon taf j’l’ai choisi j’ai toujours su que si
ça marchait il y aurait des Stan et des groupies
Mais j’m’habitue pas aux mains serrées avec des orties ni aux regards posés sur
le volume de mon caddie
J’suis pas ton idole ce poids est trop lourd pour mes épaules l’autographe ok
mais ne t’accroche pas à mon auréole
Ma simplicité me fait souvent défaut en plus j’suis parano j’ai l’impression
que ma vie passe aux infos
Elle s’tranforme de lèvre en lèvre la salive des putes lavent mon linge sale
surtout depuis que j’ai perdu mon love
Lève ces jumelles que tu pointes sur mon quotidien tu auras rien en plus c’est
le même que le tien
J’m’occupe des miens, voila où part mon fric car dans une chute les poches
pleines de biftons beaucoup plus vite
Eh Sopra, t’en bats les couilles profite de ta vie de civil
Mais d’abord dis leur à tous que…
Je n’appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d’homme dans ce
monde à aucune femme
Comme toi j’suis qu’un libre civil bouffe pas mon oxygène car la vie s’effrite
si vite
Je n’appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d’homme dans ce
monde à aucune femme
On peut passer de l’affiché à l’afficheur, ça part d’en bas un démarrage en
côte vers le bonheur
J’suis un civil sans bombers, sans brassard orange
J’roule pas en Safrane 2,2L, pas d’flash ball sur la hanche
J’suis pas un justicier, je suis pas rentré dans vos blocs armé c’est mon
langage qu’effraye
Ma foi je suis comme toi un civil j’enfile pas le bleu
Répare ma Clio en Tod’s, serre moi le poignet fait fumer le fameux
Depuis microbe j’ai la tchatche, rêve de piloter comme Coulthard un Countach
J’suis pas trop clash dans mes rédacs
J’m’inspire souvent de moi, de la vie de binbin de la au bleu de soldat
Ca c’est des locataires on réside la même Terre possède des mêmes terres
Crache les mêmes glaires, j’me fie au regard des ces gens qui m’ont vu pleurer
Tout ce qui s'élève se rabaisse, hein? Des cas de figure c’est pas ce qui
manque au quartier
Le rap c’est mon réseau, tu me dévisages à croire qu’tu veux qu’je marche à
poil bero j’ai le boulot
Les petits cousins de la Lygne 26 ne troquent pas notre style ils riment à leur
compte
Ils règleront leur compte sur vinyle en attendant on rode pour rien on est des
civils
Se fond facile dans la masse habillés à la mode de notre ville
Il se peut qu’on se croise qu’on dialogue j’fréquente parfois les grand axes
J’suis comme Renaud ma notoriété m’empêche pas d'être relax
Même si dans les bains de foule certains ont trop de jus et lâchent prise
L’idolâtrie moi ça m'électrocute et m’occulte j’veux pas le connaître
J’aime être dans le flou tout viser à la lunette mettre 6 coups, PAAA
C’est le tarif minimum comme l’a si bien dit celui qui m’a signé merci à l’homme
J’suis qu’un homme parmi tant d’autres, un homme parmi tant d’notres
PSY 4 c’est notre état civil
Je n’appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d’homme dans ce
monde à aucune femme
Comme toi j’suis qu’un libre civil bouffe pas mon oxygène car la vie s’effrite
si vite
Je n’appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d’homme dans ce
monde à aucune femme
On peut passer de l’affiché à l’afficheur, ça part d’en bas un démarrage en
côte vers le bonheur
TanyaRADA пишет:
- спасибо! От Души!!! ( Улыбаюсь...)все так!!!Liza пишет:
Любимая песня моей мамы