T’sais, y’a pas d’censure, y’a pas de…
Voilà, y’a rien qu’est caché, c’est brut, c’est vrai, c’est réel
Tu sais qu’c’est réel, quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel, quand tu sors la tête de l'écran
Tu vibres et tu vis vraiment
Le réveil est impossible dans ce monde utopique
Ça en devient presque hilarant
Tu sais pertinemment qu’tu t’trompes mais tu t’obstines
Cette merde est abstraite, le succès est éphémère
C’est la fin, il faut qu’tu t’apprêtes mais tu préfères laisser faire
A force de trop vite s’initier au Rap, on rentre dans une matrice
On s’sent comme une machine productivité au max
J’en ai assez de voir des femmes au cœur de pierre
Souiller le monde, elles confondent l’amour et le sexe
Elles veulent te faire toucher le fond
On grandit au son des innocents discours grandiloquents
En ignorant qu’l’amour fait ressentir un manque sanguinolent
Des blessures insensibles au temps, j’te l’ai déjà dit dans Suga
J’ai gouté autant de coup bas
Qu’y’a d’couplets de Rap sur Shook Ones
J’ai dit «je t’aime» à mes ex, maintenant
J’essaye de ne plus prendre le poids des mots à la légère
Hédoniste authentique, j’suis foutu d’avance
L’amour dure trois ans pour les égoïstes romantiques
J’ai eu du mal à m’relever à force de trop faire le tombeur
Tes amis protègent ton dos mais personne protège ton cœur
Tu sais qu’c’est réel, quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel, quand tu sors la tête de l'écran
Tu vibres et tu vis vraiment
Tu sais qu’c’est réel, quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel, quand tu sors la tête de l'écran
Tu vibres et tu vis vraiment
Je n’parle pas de flingue mais viendra
L’jour où j’vais tirer ma révérence, saleté d’Rap
J’gratte les mailles mais j’ai jamais kiffé m’laver les dents
J’fais l’taff tant bien qu’mal, en sachant que tout glisse
Tant d’attente pour si peu, bon, c’est grave, j’en ai marre
De toute cette poudre aux yeux, nique les rêves précaires
On veut, du moins, on espère du vrai, du réel pour nos vœux
J’ai vu tous ces artifices donc j’suis parti vite
If you feel that it’s real
Darryl, Darryl, Darryl dis-leur !
Rien d’neuf, j’préfère toujours les amis aux compères
Des cons percent dès qu’on perce, ces animaux m’pompent l’air
J’respire, sûr d’mes vrais rôles soufflants
Reste, tire sur des bédos souvent, bien entouré
Nan, j’insiste pas mais, frangin
Si t’as rien en cours, viens en tournée
J’rappe pour arroser mes potes et rouler de l’herbe
Car appliqué, par amitié, j’fais groover le verbe
Représenter, et je prétends qu’mes
Reufrés l’sentent dès, qu’j’le fais chanter
Dans des textes fiers en espérant que ça t’fera taire, pitié
J’vais faire rimer l'éternité 'vec la fraternité
Tu sais qu’c’est réel, quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
[Tu sais qu’c’est réel, quand tu sors la tête de l'écran
Tu vibres et tu vis vraiment]
Tu sais qu’c’est réel, quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel, quand tu sors la tête de l'écran
Tu vibres et tu vis vraiment
OK plus l’temps passe et plus j’m'évade, triste scénar'
Les gens sont gués-lar par les techniques d’attaque de mon squad
On arrive groupés, on boule-dé, pour court-circuiter l’stème-sy
Soûlés par c’qu’on nous sert d’la merde, vous n’pouvez en doutez
J’vois les tits-pe, l’image leur graille le cerveau, c’est chaud !
Imagine ta p’tite reus au bout d’un bédo
Moi, j’avance loin des stéréotypes, chérie, coupe la télé on sort
La vraie vie, c’est dehors et pas dans les vidéos clips
Et j’ai d’la peine pour ces p’tits bouffons sous C
Pétés d’oseille dans les soirées branchées
Bons qu'à s’faire mousser, en bref
Frangin, faut qu’tu réalises avant qu'ça parte en couille
Soit t’ouvres les yeux, soit tu cèdes au vice et la matrice te coule
La télé vend du rêve mais n’arrange rien
Got nothing? 'Cause you ain’t saying nothing
Hip-Hop Parody
Tu vibres et tu vis vraiment
Tu sais qu’c’est réel, quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel, quand tu sors la tête de l'écran
Tu vibres et tu vis vraiment
Tu sais qu’c’est réel, quand on parle de nos vies
Quand on raconte les joies, les peines
Qui s’affrontent dans nos villes
Tu sais qu’c’est réel, quand tu sors la tête de l'écran
Tu vibres et tu vis vraiment
TanyaRADA пишет:
- спасибо! От Души!!! ( Улыбаюсь...)все так!!!Liza пишет:
Любимая песня моей мамы