Yes, hein
Elvis Roméo, le Motel à la prod
2013−2016, Bruxelles est devenu la jungle
Morale
Et j’en place une pour mes followers, c’est fou, merci d'être vous
Et d'écouter les tracks sur de l’herbe douce
Un jus de coconuts, on est parti
Mets ta veste pardi et ta paire de Stan Smith
On est jamais que des ketjes, des gosses
J’prétends pas connaitre le rap à fond la caisse
Ou bien comme le fond de ma poche
J’fais des sons et j’bouffe avec les sous du boulot
J’fais des tubes, j’arrive jamais au bout du rouleau
C’est ma méthode, la musique reste un passe-temps
Je veux pas toucher l’or, je gère mal mon argent
Papa m’a donné le gout du rythme et Maman l’envie d’en parler
Je rappe avec la voix du padre et des souvenirs
Et j’en place une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais d’ici
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC, une pour le Motel, ouais
J’ai pas de problème à rester trop frais, et à progresser
Une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais d’ici
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC et une pour le Motel, ouais
Et j'étais vraiment nul au foot en club mais j’aimais jouer seul
J’imaginais que je barrais la route à Wayne Rooney
La foule était en délire puis je quittais le sol
Pour une retournée dégourdie, la balle finit dans le goal
C'était mon truc et donc faire face à la réalité en soi
Ça voulait dire aller jouer en club avec des déter', des bouffeurs de ballons
Et même dans l’esprit de groupe, je me retrouve tout seul
Une enfance tranquille, j’ai surtout grandi dans cette école d’art
On dormait à l’internat, c'était les plus belles heures de ma vie
Une nouvelle famille loin de Linkebeek et de celle que j‘avais trahi
Vu que j'étais ce petit te-bê trop naïf
Et j’en place une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais d’ici
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC, une pour le Motel, ouais
J’ai pas de problème à rester trop frais, et à progresser
Une pour mes défenseurs
Une pour mes vrais d’ici
Une pour tous ceux qui croyaient dur à ma réussite
Une pour mes ODC et une pour le Motel, ouais
Une pour Nino et les VDS, Martine, Esteban et la banda ouais les vrais,
les vrais
Les parigos de Doornik, l’OFM et mes homies, et ceux 1630
Les prodiges, mes vrais frères
Mon vrai père est un grand chanteur
Une pour la famille et les disparus de cette terre
Reste vrai, pense à ceux qui étaient là avant toi
J’en retire une aux fascistes parsemés
Vous êtes partout comme le 4G et les faux artistes babtou
Merde, j‘emploie des rimes faciles, c’est vite fait
Mais qui osera dire qu’il ne comprend pas le Vis-El?
C’est pour tous mes frères, toutes mes sœurs
Les gens qui viennent aux concerts
Pour la famille, l'Œil Écoute Laboratoire
L’or du Commun, Back in the Dayz, Stikstof
Ma deuxième famille
J’voulais te dire, l’autre jour, mais j’ai pas osé
Alors, j’t’ai envoyé un sms pour te dire que je t’aime
Je voulais croire à l’impossible, un amour parfait
Faire le double de ma lessive et mourir accompagné
«Mais j’ai des doutes concernant tes frénésies»
Disait-elle au téléphone, je me calme et tu m’ouvres la porte
C’est les mêmes conneries qu’hier soir
Celles de demain seront pareilles
«Ne vois-tu pas que mon amour est parti?
Ne vois-tu pas que tous les messages que j’ignore?
Pitié, je t’implore, ne vois-tu pas que je quitte le navire ?»
De l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas, je l’ai enjambé
Enchanté, je suis incapable de le demander
Chérie, voudrais-tu te taire? Et laisse faire la douleur
J’espère du fond du cœur que tu souffres
J’espère que les séquelles s’effacent
À Bruxelles, j’ai le cœur vide et les mêmes histoires néfastes
Sèche ces fausses larmes et tes souvenirs
J’envenime le drame par la haine et la tragédie
Bagatelle et crises de nerfs en défense
Je n’ai plus d’essence pour me bagarrer ou profaner des sentences
Examine ma race, mes cernes en disent long sur mes pensées
De l’ombre et des idées noires
Juliette, comme par hasard, ça finit mal
On s'était pourtant promis pas de coups de putes, pas de filatures
Et mes histoires d’amour me donnent le mal de crâne, et des paranos
Pars avant que je devienne crade et que je perde le nord
Juliette, comme par hasard, ça finit mal
On s'était pourtant promis pas de coups de putes, pas de filatures
Et mes histoires d’amour me donnent le mal de crâne, et des paranos
Pars avant que je devienne crade et que je perde le nord
Douleur, cette fois ça ne passera pas
Douleu-douleu-douleur, cette fois ça ne passera pas
Douleur, cette fois ça ne passera pas
D’où le triste faciès que je présente tous les soirs
Du monde dans les soirées
L’alcool est une drogue et mes synapses lâchent Porte de Hal
J’avais dit plus tard mais mon corps s'écroule et touche le sol de plein fouet
J’ai la bile qui coule et toutes mes poches sont pleines de néant
Un aller simple au pays des emmerdes du célibataire s’il vous plait
J’ai la flemme d’y retourner mais j’ai pas d’autres options
Cette fille me dégoûte, mon dieu qu’elle était belle
Quand sa peau prenait des couleurs et le soleil
Douleur, cette fois, ça ne passera pas
D’où le triste faciès que je présente tous les soirs
La flamme s'éteint pour toujours quand le bic est vide
TanyaRADA пишет:
- спасибо! От Души!!! ( Улыбаюсь...)все так!!!Liza пишет:
Любимая песня моей мамы