«Quel est le premier devoir d’un homme?
Subvenir aux besoins de sa famille
On a toujours une famille
Ils seront toujours votre priorité et votre responsabilité
Il le fait même s’il n’est pas très apprécié, ou respecté, ou même aimé
Il ne se laisse pas abattre
Il supporte et fait son devoir parce que c’est un homme»
Moi j’ai jamais donné mon cul, travesti mes principes
J’participe et j’insiste, toi t’as du jus plein l’slip
C’est pas l’futur leur imposture car la fausseté prospère
Tous à vouloir la gloire et la fortune, au fait mon frère
On est dans nos tanières, on erre à nos manières
Fières de nos bannières, le sky laisse un goût amère
Besoin de douceurs, donc j’ai les bras d’ma femme
Mais j’ai tellement niqué leur game que j’suis pas loin d’la panne
Je sais j’me laisse aller, je deviens moche et lent
Et si la haine était salée j’aurais bu l’océan
Moi je vis autrement et surement que j’me trompe
Au moins je t'écris proprement leur manière de voir ce monde
Y’a eu un p’tit retour, moi j’trouve ça mérité
Parce que j’arpente la vérité avec témérité
Leur système RIP, leur vieillerie obsolète
J’suis comme un témoin de Jéhovah devant mille et une sonnette
Et je suis venu colmater la fuite parce que je vois qu’le rap a besoin d’air
En fait ma réussite un verre de Jack avec un joint d’herbe
Laisse les tailler des pipes sans la chaleur des rimes incendiaires
Rares sont les classiques tous seront légendaires
J’ai pas de doute sur mes sentiments
Trop explosé en scred sous budha dans l’divan
J’joue pas l’grand dit-ban
On est juste venus faire du bruit ouais dans l’silence
S.M.A.L.A. tu connais le groupe
On parle de nos lifes et puis tous nos doûtes
Parfois j’suis en bad c’est le coup de blues
Une fois que j’la regarde c’est le coup de foudre
J’abuse d’ces artifices pour éclairer ma lanterne
J’calcule les sacrifices qu’ont fait mes rents-pas et tous mes ancêtres
J’ai des doutes sur leur fierté et ma réussite
J’ferais tout pour tout péter, qu’ils soient fièrs d’leur fils
Je n’aime pas me faire aider je me sens stupide
Je n’aime pas être délaissé je me sens tout triste
J’me suis demandé comment j’serais en grandissant
Trop d’erreurs à croire que l'échec est enivrant
Quand j’y pense elle est pas mal l'époque où je parlais de mon avenir en riant
Maintenant j’essaye de me poser et de réfléchir ouais tranquillement
J’avais plein de peurs qui me rendaient fou
J’ai fait des erreurs oui dans le doute
Je cherche le bonheur ouais dans toutes ces gouzes
Pour pouvoir masquer un manque immense
Malgré toutes mes peurs et mes vices ouais je reste debout
Toutes les erreurs que j’ai commises j’en ai pris des coups
Mais je reste debout dans cette vie de fou
Mais remplie de doutes, qu’en est-il de vous?
Han, et yo j’viens d’sortir d’la salle du temps
Une fois de plus j’me suis perdu, laissant passer les heures, les jours,
les thunes
Mais j’suis resté l’même, j’ai pas grave gé-chan
J’ai juste pris quelques cernes j’suis devenu ce gars méfiant
Un quart de siècle est déjà passé, j’ai rien vu venir
On a plus le temps d’se pavaner c’est peut-être la fin du film
Ils ont plus d’texte dans la bouche mais plutôt la couche pleine
J’les écoute plus ils ont peut-être pas compris qu’ils sont presque tous dead
Avant d’jouer les grandes caboches eh
Sache qu’il est préférable de balayer devant sa porte
Même si on a tout à perdre, rien à gagner
J’rêve d’la vie d’la vraie, écrire sous un palmier
Accroché à mes doutes, son regard me hante
Affolé là j’découvre vraiment ce qu’est le manque
J’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi étrange
J’ai des visions apprendre du passé j’crois qu’il est temps
Un p’tit freestyle de plus, pendant qu'ça parle de vues
Les autres s’effacent appelle ma team pour un kickage de luxe
Malgré les obstacles et les embûches moi j’ai pas reculé
Ouais ça m’est plus ou moins égal mais tout est calculé
Le cycle infini continue on m’a dit «c'est la vie»
J’veux pas m'éloigner d’mes proches tôt ou tard j’vais partir
J’suis peu communicatif un peu comme une image vide
C’est drôle quand tu cris j’pars vite
J’ai cœur froid du Titanic, Motherfuck
T'éduques tes filles et malgré ça elles sucent des… normal
Les murs s’effritent j’connais chaque coin des rues d’BX, normal
Quand j’fume je fly j’suis l’cerf-volant, là j’plane
Laisse moi rêver là haut je perds trop de temps, basta
Arrêtez-moi j’me laisse aller ça fait des mois voire des années qu’je fais la
même
Mais maintenant le rêve s’arrête dur
J’range mes affaire, l’ambiance est triste quand c’est la dèche
Le temps reste gris, j’me sens aigri, j’me sens faiblir, j’te chante mes tripes
J’sens ma fureur des fois quand ma pudeur s'éloigne
J'écris des sons dans une pièce sombre sans la lueur d’espoir
Ce vaste monde un océan d’problèmes
Retenez qu’le masque il tombe c’est trop gênant je l’sais
Viens j’veux t’faire sourire, j’partirais pas sans vous
Rien ne sert de courir la ligne d’arrivée nous attend tous
Malgré les obstacles et les embûches moi j’ai pas reculé
Ouais ça m’est plus ou moins égal mais tout est calculé
Le cycle infini continue on m’a dit «c'est la vie»
J’veux pas m'éloigner d’mes proches tôt ou tard j’vais partir
Et yo, jette ta musique à la poubelle on est venus prendre le mic
Sans blague, j’avais mes chances avant qu’ils ne vendent le match
Vesqui l’engrenage, t’inquiètes poto j’avance
Mes photos d’vacances n’enlèveront pas mon envie d’prendre le large
Ça sonne mieux quand j’le rap, 1, 2, 3, 4 OK
J’suis pas coké mais j’ai d’quoi choquer ta bande de rats
Moi j’aime le chanvre, le sale, la viande, le sky
Appelle mes parents et mes parents le savent
Lèche ma… ferme ta… quand les obus partent
Calme, j’suis à la D j'écoute le Volume 4!
Imbécile tu craques, tu blagues chez nous il coule du Jack
Chez vous ça cotise pour investir une plate
Les gars j’suis fier de vous, qu’elle garde sa paire de couilles
La concurrence fait peur comme un livre Chair de poule
Ca fait Pah Pah, un mélange et ça repart
Cassded ceux qui savent et bise à ceux qui savent pas
Seyté comme d’hab, le texte est épicé, aiguisé
Mais j’vais pas terminer comme ça
Ils m’ont dupé sévère, on a du-per les clés
On a fumé les dettes, ils ont truqué les dés
Seyté comme d’hab, le texte est épicé, aiguisé
Et j’vais pas terminer comme ça
Qui veut défier le roi d’la piraterie
C’est La Smala, «Un cri dans l’silence» ça sort le 10 avril
TanyaRADA пишет:
- спасибо! От Души!!! ( Улыбаюсь...)все так!!!Liza пишет:
Любимая песня моей мамы